NOTES

 

La citation est légèrement inexacte: « J’ai annoncé à l’Académie l’Héraclius de Calderon, et je ne doute point qu’elle ne le lise avec plaisir, comme elle a lu l’arlequinade de Gilles Shakespeare. » (lettre CV, du 25 septembre 1762) Il s’agit de la traduction de l’Héraclius de Calderon par Voltaire  (L’Héraclius espagnol ou La Comédie fameuse) destinée à montrer que Corneille n’est en rien plagiaire de Calderon.